L’okapi est un mammifère de la même famille que la girafe, présentant une physionomie qui emprunte aussi un peu au zèbre. Espèce endémique, il ne vit qu’au Congo, dans la forêt de Lituri, où une réserve est censée le protéger. Malheureusement le braconnage y est toujours actif alors que le nombre d’okapi ne cesse de diminuer.
Il est rare de l’apercevoir, excepté dans les zoos de la planète où il reste quelques spécimens. Son corps est court, massif et le sommet de la tête des mâles comporte des ossicônes. Sa langue préhensible lui permet d’attraper les meilleures feuilles.
Son pelage est magnifique, couleur chocolat à brun, portant des zébrures noires et blanches sur les pattes et l’arrière-train. Sa tête arbore aussi une tache blanche sur la joue. Il marque son territoire de son urine et établit une routine dans ses déplacements. Ce qui facilite le travail de son principal prédateur, excepté l’homme, le léopard. L’okapi vit la nuit et son ouïe extrêmement aiguisée lui permet d’anticiper le danger. Solitaire, il ne fréquente ses pairs qu’au moment de la reproduction.
Lorsque la femelle donne naissance à son petit, elle le garde camouflé dans les fourrés pendant deux mois, le nourrissant. Il apprendra ensuite l’autonomie à ses côtés, en la suivant dans ses déplacements, alors que son sevrage interviendra dans les 10 mois. Un animal à sauvegarder absolument, le plus possible dans son milieu naturel.
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