Le béluga appelé également marsouin blanc, baleine blanche, dauphin blanc, vit principalement dans les eaux de l’Océan Arctique, en périphérie du Pôle Nord. Il décline son nom du Russe Belushka, signifiant « blanchette ». Il présente une tête assez petite surmontée d’un organe ovale, le « melon », et un corps massif.
Sa physionomie particulière alimente les légendes à son encontre. Elle n’a d’égale que sa discrétion, qui lui permet de se déplacer en toute tranquillité, à maximum 11 km/h, avec de rares pointes à 35.
Ses apnées peuvent durer jusqu’à 15 minutes Il fraie entre les eaux basses et saumâtres des estuaires et les grands tombants maritimes. Chassé pour son cuir et sa chair, il redoute l’homme, l’ours polaire, le morse et l’orque, ses principaux prédateurs. Le Saint Laurent au Canada abrite une colonie de bélugas déclarée en voie de disparition. Toute l’énergie du béluga est contenue dans la couche de graisse qui l’englobe et constitue une réserve, lors de ses périodes de migrations.
Il migre ainsi pour se nourrir de poissons et d’invertébrés qu’il croque avec ses dents.
Sa peau laiteuse et dix fois plus épaisse que celle du dauphin mue. Ses facultés principales résident en son ouïe et en sa capacité d’écholocation qui lui permet de détecter le danger à distance. Le plus fascinant des cétacés.
Le béluga, aussi appelé baleine blanche, est un cétacé facilement reconnaissable grâce à sa robe immaculée et à son sourire naturel qui lui confère une expression amicale. Contrairement à d'autres cétacés, il ne possède pas de nageoire dorsale, ce qui lui permet de se faufiler plus aisément sous la glace dans les eaux froides de l'océan Arctique. Doté d'une grande intelligence et d’une communication vocale très développée, il est surnommé le "canari des mers" en raison des nombreux sifflements, clics et gazouillis qu’il utilise pour interagir avec ses congénères. Son crâne flexible lui permet d’exprimer une large gamme d’émotions, faisant de lui l’un des cétacés les plus expressifs du règne animal.
Le béluga est un nageur agile qui peut plonger jusqu'à 700 mètres de profondeur et retenir son souffle pendant plus de 15 minutes. Il se nourrit principalement de poissons, de crustacés et de céphalopodes, qu'il chasse grâce à un système d’écholocalisation ultra-performant. Contrairement aux autres cétacés, il est capable de nager en marche arrière, un atout précieux pour évoluer dans les eaux glaciales et labyrinthiques de l'Arctique. Son épaisse couche de blubber (graisse sous-cutanée) lui permet de résister aux températures extrêmes et de conserver sa chaleur corporelle même dans des conditions glaciales.
Bien que le béluga ne soit pas directement en danger d’extinction à l’échelle mondiale, certaines populations, comme celle du Saint-Laurent, sont gravement menacées par la pollution, le réchauffement climatique et le trafic maritime. L’accumulation de métaux lourds et de substances toxiques dans son environnement impacte fortement sa santé et sa reproduction. De plus, le bruit sous-marin généré par les bateaux perturbe sa communication et son écholocalisation, essentielles à sa survie. Les efforts de conservation, tels que la création de zones protégées et la réglementation du trafic maritime, sont indispensables pour préserver cette espèce fascinante et garantir son avenir dans les eaux froides du Nord.
Pour minimiser les coûts de santé, anticiper les dépenses vétérinaires,un contrat adapté aux chiens, aux chats et à tous les animaux domestiques.