Le génotype du bonobo afficherait plus de 98 % de similitudes avec celui de l’homme. Il tient son nom d’une déclinaison du village de Bololo sur les rives du fleuve Congo où il vit. Espèce endémique et en danger, il est un trophée pour les braconniers et doit également subir les méfaits de la déforestation.
Nommé chimpanzé pygmée, il mène une vie sociale, au sein d’un clan qui peut comporter une centaine d’individus. Les orphelins sont protégés et élevés par d’autres membres du groupe. L’empathie, le soin, l’attention à son prochain le caractérise.
Les relations sexuelles sont fréquentes, notamment pour résoudre les conflits sociaux. Ces ruts rapides, qui prennent rarement plus de 15 secondes, et se prodiguent envers tous, mais jamais incestueux, apaisent les esprits. Ouvert à tout type de relation, le bonobo pratique aussi le baiser avec la langue, l’homosexualité, la bisexualité, le sexe oral. Un beau moyen d’honorer la pulsion de vie et de bannir celle qui entraîne d’autres espèces à s’entretuer et aux luttes de pouvoir.
La solidarité est de mise entre membres d’un clan, notamment du côté des femelles, dont l’une organise et hiérarchise la vie du groupe. Altruisme et compassion sont les qualités premières de cet animal hors du commun et attendrissant. La sauvegarde de cet animal au comportement passionnant s’organise avec une poignée de bénévoles déterminés.
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