Petit mammifère carnivore d’Europe, la belette se distingue par un pelage brun roux et un air malicieux. Son nom vient de la contraction de « belle petite bête ». Elle est souvent confondue avec l’hermine, qui présente, elle,, un bout de queue noir. En apparence attachante, elle n’en est pas moins féroce quand il s’agit de chasser le rat des champs.
Elle affectionne la montagne et l’altitude. On l’introduit sur certains territoires pour combattre les souris, mais elle a bien vite fait d’être, elle aussi taxée d’invasive, comme en Nouvelle Zélande.
Se déplaçant par bonds et à toute allure, elle s’adapte assez bien aux milieux, pourvu qu’ils soient fournis en rongeurs. Nocturne, mais se nourrissant beaucoup durant la journée, elle emmagasine des réserves. Ceci pour faire l’équilibre entre son énergie débordante et sa petite taille. Elle marque de ses déjections son territoire, qu’elle n’aime pas voir perturbé. Elle est, elle-même, la proie de grands oiseaux, des renards, tout en subissant également les effets de la perte d’habitat dû au réchauffement climatique.
La légende raconte qu’elle est née d’une métamorphose, permettant la naissance d’Héraclès. Il se dit aujourd’hui qu’elle vole la voix, que son œil pétillant fascine les lièvres, qu’elle consomme une herbe magique qui la protège des serpents. Créature mi-maléfique mi-bienveillante, elle n’a pas fini de faire couler de l’encre.
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