Le lapin de garennes est un mammifère de la famille des léporidés, qui comprend les autres espèces de lièvres et lapins. Assez prolifère, il vit un peu partout dans le monde. Il peut être sauvage, domestiqué pour l’élevage ou la compagnie. Il a toujours fourni aux hommes de quoi se nourrir et se couvrir, grâce à sa fourrure.
Il n’est pas rare de l’apercevoir à l’orée d’un bois ou dans un champ, avant qu’il ne décampe vers son terrier où il vit en colonie, auprès de sa très nombreuse progéniture. Ses prédateurs hormis l’homme sont le renard, l’aigle, le blaireau, le chien, la belette.
La femelle peut donner naissance jusqu’à 6 petits et avoir 7 à 8 portées par an. Le mâle ne manque pas d’honorer plusieurs femelles successivement. C’est sans doute pour cela que le lapin de Garennes semble perdurer à l’infini sans jamais craindre pour son espèce, malgré une chasse active à son encontre, depuis la nuit des temps. Tellement solide dans ses gênes et ses lignées qu’il est l’espèce souche de toutes les races de lapins domestiquées, y compris le lapin nain, favori des enfants.
L’Australie a réintroduit une vingtaine de lapins à la fin des années 1800, sans prévoir leur frénésie de reproduction. Un demi-siècle plus tard la grande famille des Garennes australiens s’élevait à plus de 30 millions de spécimens, menaçant l’agriculture. Il fallut bien des mesures rocambolesques pour rétablir l’équilibre.
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