Entre chien et loup, ce mammifère de la famille des canidés a pour terre d’origine l’Amérique du Nord. Ses similitudes avec le chacal font que les zoologistes l’affublent souvent du nom de « chacal américain ». Loin d’être en danger, l’espèce assez prolifique de par ses facultés d’adaptations, est contrôlé pour sa répartition en pleine expansion.
Il en existe de nombreuses sous espèces, dont certaines sont en lien générationnel direct avec le loup. Le coyote présente une fourrure grise ou rousse, des petits yeux malicieux et se nourrit de proies qu’il chasse. Cervidés, lapins, oiseaux, sont ses mets de choix.
Il se caractérise par ses aboiements qui semblent de vrais concerts. Lorsqu’un coyote de la meute commence à hurler, la plupart des autres individus le suivent de plus belle. Moyen de communication et d’expression, le cri du coyote a toujours fait couler beaucoup d’encre. Dans la catégorie record, le coyote fait des pointes à plus de 60 km/h, notamment en prairie, lorsqu’il sort de ses forêts. De nombreux clans de coyotes vivent aux limites du cercle polaire au Canada, éloignant tout intrus de leurs territoires.
Depuis plusieurs années, il n ‘hésite pas à frayer sur le bitume, à la périphérie des villes, dévorant des animaux domestiques ou errants. Chicago compte par exemple près d’un million de coyotes dans son agglomération. Il est même arrivé d’en capturer à Central Park à New York. Un animal hors du commun, à la fois sauvage, rural ou urbain.
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